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 Hannibál Masaryk

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AuteurMessage
Hannibál Masaryk

Hannibál Masaryk
Lómilendë 4.0


Feuille de personnage
Nationalité: Hongrois
Magie pratiquée: Nécromancie
Âge: 34 ans

Nombre de messages : 104
Date d'inscription : 25/04/2014

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MessageSujet: Hannibál Masaryk    Hannibál Masaryk  Icon_minitimeSam 24 Jan 2015 - 22:23
Informations générales
  • Nom complet : Hannibál Masaryk
  • Surnom : Aucun
  • Sexe : Masculin 
  • Date de naissance et âge : 2 Septembre 2003; 34 ans
  • Nationalité : Hongrois
  • Profession, spécialisation : Neuropsychologue
  • Etat civil : Célibataire
  • Naïf/initié : Initié

Magie
  • Type d’Art : Nécromancie

  • Niveau :Je suis un bon nécromancien. J’ai complété avec brio mes études obligatoires de magie dans un établissement nécromancien. Je suis un sorcier doué qui maîtrise avec pas mal d’aisance l’art Obscure mais je suis loin d’être un prodige au contraire de ma sœur. Alors qu’elle a fait des études supérieures en nécromancie mon intérêt s’est vite porté sur la psychologie plutôt que la magie.  

Portrait
  • Personnalité : Je suis quelqu’un d’agréable, vraiment. Je me décrirais comme discret et silencieux. Je n’aime pas les gens. J’aime les étudier mais je n’aime pas devoir les traiter comme mes égales. Les impératifs de courtoisie et l’hypocrisie m’exaspèrent. Je préfère ne rien dire plutôt que mentir. Mais je maintiens, je suis agréable. Du moins les autres me trouvent agréables, je les écoute beaucoup, ça fait de moi une bonne compagnie je suppose. Je ne suis pas un assoiffé de pouvoir. Entendez par là que je ne cherche pas à avoir des gens à ma botte mais que je déteste être au service de quelqu’un. J’aime qu’on me laisse en paix, faire ce que je sais faire. Malgré ce côté très renfermé et taciturne j’aime sortir et m’amuser. Je n’aime pas les gens mais j’aime la compagnie. J’aime pouvoir observer, analyser et disséquer les comportements et paroles de mes pairs. Au final, comme tout le monde, ma personnalité est changeante et mystérieuse. Comme le disait si bien l’éminent psychologue William James « plusieurs groupes, plusieurs moi ».

  • Famille et Amis : Je ne citerai que ma sœur. Rozsá Masaryk. De 2 ans ma cadette elle est devenue une impitoyable et crainte soldate de l’armée de l’OMDSH au Royaume-Uni. Elle est la seule personne à avoir jamais vraiment influencé ma vie. J’ai vécu de nombreuses années au rythme de ses nouvelles, dans la crainte qu’elle ne meure au combat. Jusqu’à ce que l’inévitable arrive.

  • Signes distinctifs : Le contraste entre ma peau pâle et la noirceur de mes cheveux ? Ma sexualité ? Mes obsessions ? Ou alors peut être mon amour pour les chats ? A vous de choisir, de toute manière ce qui me démarque je ne l’arbore pas fièrement, il se cache aux tréfonds de mon âme.
Contexte
  • Histoire : Comme tout le monde j’ai une histoire, et comme tout le monde elle se résume uniquement à quelques faits capitaux. Un en fait. La mort de ma sœur, et en filigrane ma relation avec Roszá. Je suis né à Budapest en 2003, quelques années avant le début de la WW III. J’ai eu la chance de pouvoir, jusqu’à mes 7 ans vivre dans l’insouciance. En Octobre 2010, la réputée Lómilendë tombait aux mains de Sliven. Jusqu’à la mort de Jonathan D. Sliven en 2012 ma famille a pu continuer à couler des jours paisibles et puis, la Hongrie s’est embrasée et a rejoint Sliven. Sentant le danger, nous avons déménagé à Edimbourg afin d’échapper à la menace Sliven. Mes parents étaient pro-OMDHS et pour rien au monde ils n’auraient rejoints l’ennemi.

    J’avais donc 9 ans quand nous nous sommes installés au Royaume Uni. Assez rapidement j’ai appris la langue – sans pour autant jamais réussir à me débarrasser de mon accent hongrois - et j’ai poursuivi mes études avec succès. En 2023, à 20 ans, mon diplôme de l’école de magie obligatoire en poche je me suis tout de suite dirigé vers des études en psychologie. Cette orientation m’a semblé plus qu’évidente aux vues de ma fascination pour les comportements humains, couplée à ma vision du monde. Je m’explique. Nous sommes nombreux à nous intéresser à l’esprit humain, c’est n’est pas une motivation suffisante pour devenir psychologue. Seulement, outre mon intérêt quasi obsessionnel pour autrui, j’ai toujours été une sorte d’enfant des ténèbres. Je n’aime pas les gens et je n’ai aucune foi en l’humanité, pourtant les humains me fascinent, leurs constantes oscillations entre bonté et cruauté me déstabilisent et me happent. Je voulais comprendre les mécanismes de l’esprit et le curieux et obscure monde de la psychologie m’a séduit par ses nombreux aspects, entre science et sorcellerie, la discipline s’imposait à moi comme la réponse à mon besoin pathologique de compréhension et de maîtrise de l’alter, le mien et celui d’autrui.

    Alors que j’entrais à l’Université d’Aberdeen, ma sœur elle s’engageait des dans études supérieures de Nécromancie. Elle était fermement déterminée à marcher sur les traces de l’icône nationale : Erzèbeth Nàsdy. Elle passait son temps à se comparer à la générale et rêvait de travailler pour elle. C’était une source intarissable d’admiration pour ma cadette.

    Les années passèrent et alors que je devenais un brillant neuropsychologue, Rozsá gagnait en influence à l’armée, gradant vers les plus hautes sphères. Elle réalisa son rêve et finit par travailler sous les ordres de la Générale Nàsdy. Ce fut une des dernières choses qu’elle fit d’ailleurs. Elle mourut sur le champ de bataille, une année avant la fin de la guerre. Je ne saurai jamais expliquer pourquoi mais ce jour-là, le peu d’humanité qu’il me restait s’est envolé. Mes parents sont décédés quelques années plus tard dans un accident de voiture sans que je ne verse une seule larme pour autant. Le jour où Rozsá m’a abandonné je me suis retrouvé seul au monde sur cette planète. C’est depuis cette date que je suis passé du statut de neuropsychologue respecté et talentueux à celui de savant fou. J’ai commencé à faire des expériences controversées et à élaborer des théories effrayantes. J’ai été remercié de trois universités au Royaume-Uni, puis deux en Allemagne et une en Suisse avant de me mettre à mon compte. J’ai alors ouvert un cabinet privé à Budapest qui, l’espace d’un temps, m’a permis de poursuivre mon but. Très vite cependant j’ai été inévitablement poursuivi par les autorités hongroises. J’ai vite fermé boutique et plié bagages. Le destin, bien décidé à me permettre de continuer mes recherches m’a souri et je me suis vu proposer un poste de chef de service à Lómilendë.

    Je dis destin car dès le moment où j’ai lu le nom de l’établissement j’ai su que le hasard n’y était pour rien. Lómilendë n’était pas qu’un nom, c’était une entité qui avait revêtu bien des formes avec pour seule constante le pouvoir. Ceux qui servaient Lómilendë étaient appelés à faire de grandes choses, j’en suis sûr. D’autre part, l’idée de pouvoir travailler là où l’idole de ma sœur avait passé la plupart de son temps n’était pas étrangère à mon intérêt pour le poste. J’ai accepté sans hésitation.

  • Lien avec Lómilendë : J’ai passé la plupart de ma vie à en entendre parler. Alors que j’étais encore en Hongrie en attende d’atteindre l’âge d’être scolarisé dans une école magique j’ai entendu mes parents parler de m’y envoyer pour y suivre mes études. La chute de l’école et le déclenchement de la WW III a bien évidemment changé leurs plans. J’en ai réentendu parlé quelques années plus tard lorsque ma sœur, à l’adolescence, ne jurait plus que par Erzèbeth Nàsdy. Enfin, quand ma sœur s’est engagée dans l’armée elle n’a eu cesse jusqu’à sa mort de me parler de Lómilendë, ou plutôt de la base 2304-Z.

  • Ancien alignement : Ma famille était pro-OMDHS, je l’étais donc par défaut mais de facto je n’ai jamais adhérer à aucune idéologie. La guerre n’était pour moi pas l’affaire de deux camps qui s’affrontait mais simplement une constant danger pour la vie de ma sœur qui se répercutait lourdement sur ma personne.

  • Expérience professionnelle : Avant de tomber en disgrâce dans les cercles de la psychologie et de la psychiatrie j’ai enseigné avec brio à Londres en parallèle de ma pratique de neuropsychologue dans plusieurs hôpital de la capitale.
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